Mon quotidien préféré a les neurones gelés:il consacre la une de son supplément week-end à une pouf de pacotille juste bonne à faire rêver ces décérébrés de footballeurs.
Au secours,je ne veux pas voir la presse que j'aime,polluée par une Barbie de Monoprix.
Quant à Karl Lagerfeld qui voit en elle la nouvelle Coco Chanel,il est grand temps pour lui de raccrocher les gants avant le combat de trop.
La journaliste certainement anesthésiée,l'a trouvée d'une "élégance folle"et"moins bête qu'elle n'en a l'air",c'est vrai on dirait Marie Curie.
La pauvre petite a offert son corps pour des prestations tarifées,pourquoi n'a t-elle pas songé à offrir son esprit?là,c'est moi qui délire.
La chroniqueuse a craint que son mutisme ne cache une certaine bêtise,un sursaut de clairvoyance journalistique.
La société est-elle à ce point, en manque de vrais personnalités pour mettre en avant des heroînes de la téle-réalité et des poulettes dont le vide sidéral est navrant mais assumé lorsqu'elle avoue:"je ne sais pas ce que je suis,ce sont les gens qui le savent"
Nadine de Rotschild revient.
Je finis sur une note d'espoir,page suivante,unportrait de Suzy Menkes,la journaliste mode cultissime du International Herald Tribune qui impose le respect à toute la planète fashion,incorruptible au point de refuser le moindre déjeuner avec un créateur,l'anti Anna Wintour en somme.
Preuve qu'on peut faire une belle carriére et avoir des couilles,les siennes.
Encore encore, cela change de la langue de bois de toutes ces journalites de mode...........
RépondreSupprimer